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Qui aurait pu croire qu’un virus mortel allait complètement chambouler ces projets pour cette année 2020 ? La crise apportée par la pandémie Coronavirus n’est pas uniquement une crise sanitaire, mais économique et sociale également.
Aucun secteur n’est épargné, tout le monde vit dans la misère depuis quelques mois. Pour le cas de Renault en particulier, cet acteur majeur du milieu de l’automobile, la perte est énorme. Une perte de 7,3 milliards d’euros est en effet catastrophique pour l’entreprise.
Renault est dans le rouge #
On passe tous par une difficile avec la situation sanitaire actuelle, mais pour Renault, cette crise pourrait le mener à la ruine. La marque est en effet déjà dans le rouge avant la pandémie étant ravagée par la concurrence. Aujourd’hui, la grande firme est décidément en chute libre en annonçant la suppression d’un nombre important d’emplois dans le monde vers fin mai.
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Plombé par son partenaire nippon Nissan l’année dernière, la marque vit déjà dans le rouge et il a fallu qu’un satané virus vienne anéantir le monde pour faire perdre tous les moyens au fabricant de renom mondial « Renault ». Résultat, la firme a vu la plus dure défaite de son histoire durant le premier semestre de cette année.
Suite à cette malheureuse situation, la marque a dû faire recours à la suppression de plus 15 000 employés dans le monde, dont 4 600 d’entre eux se trouvent en France. Par ailleurs, la marque a indiqué qu’elle renonce à toute sorte de prévision de résultat financier pour cette année tombée à l’eau.
La fin de sa domination du Renault sur le marché ? Le dirigeant n’a pas encore perdu l’espoir #
C’est vrai que toutes les grandes firmes essaient toutes de vivre tant bien que mal dans cette période de pandémie, mais pour Renault, la situation est sans précédente. Si l’on croit aux propos de son nouveau Directeur Générale Luca de Meo qui a pris ses fonctions au début de ce mois, la galère dans laquelle la marque s’est enfourré est quasiment sans issue, mais il n’a pas encore perdu confiance.
Effectivement, ce dernier a le vif espoir de voir le groupe rebondir de nouveau, car il n’y a aucune réussite sans échec. Bien que le premier semestre ne l’ait pas aidé à sortir de la difficulté de l’année précédente, cela ne veut aucunement dire que les semestres suivants seront encore plus pénibles, d’autant plus que la crise sanitaire de la pandémie est commune pour tout le monde.
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